Malek Bachi, guitare à la main, a fait le serment de ne produire que du bon travail à l’image des fourmis dans leurs labeurs sur terre et des abeilles dans leurs explorations dans les airs. Artiste complet, il lutte et espère, ainsi se libère ce dialogue entre son instrument de musique et la mélodie de sa douce voix l’invitant à flâner au-delà de ses envolées lyriques. Le mystère, son secret, seul lui le détient sans toutefois savoir comment il se manifeste en son for intérieur, d’où la bonté poétique de sa musique œuvrant et dévoilant la beauté mystique de ses œuvres. Toujours à l’écoute de ses ressentis et de son verbe assorti, c’est de là que s’amorce toute l’exégèse de l’amour abstrait, sa philosophie, ses failles et ses espoirs.
Réflexif, intuitif et inventif, Malek Bachi ne chante pas de manière inconsidérée ni désincarnée, plutôt d’une sensibilité à couper le souffle. Cultivant une tonalité musicale empreinte de sensibilité atemporelle, il associe son cœur à ses blessures, et ses déchirements à ses larmes. Dans sa façon de gérer son art, il apporte toujours quelque chose de nouveau, de singulier donc de rareté. Avec des rimes personnelles nourries d’expériences intérieures du vécu et d’empathie, et fortement enracinées dans l’existence de chacun, ses poèmes tissent lyriquement des ententes. Des compositions entamées aux recompositions attendues, parler d’une sensibilité créatrice, pour Malek Bachi, cela requiert une parfaite implication de soi et une irréprochable application de son engagement associant désordre moral apparent et sérénité enfouie s’abreuvant du secret de son art, d’où l’éclaircie et l’harmonie de son aire musicale sertie à son verbe approprié qui y prospère.
C’est comme entendre tambouriner sur le toit ou à la fenêtre la sonorité de la pluie. La musique de Malek Bachi se dissocie du bruit ; le verbe chez Malek Bachi s’associe et réjouit. De « Tiziri » à « Ssawalen am » en passant par « Di sin » à « Vettu », ou de « Ccah nemyeḥmal » à « Asmekti yettrun », toutes ses chansons douces et romantiques évoquent la synthèse de toutes nos traditions s’inscrivant dans la modernisation des sons et chants antérieurs. Ceci afin de permettre à la volonté humaine et artistique de les exporter au-delà des frontières.
Réflexif, intuitif et inventif, Malek Bachi ne chante pas de manière inconsidérée ni désincarnée, plutôt d’une sensibilité à couper le souffle. Cultivant une tonalité musicale empreinte de sensibilité atemporelle, il associe son cœur à ses blessures, et ses déchirements à ses larmes. Dans sa façon de gérer son art, il apporte toujours quelque chose de nouveau, de singulier donc de rareté. Avec des rimes personnelles nourries d’expériences intérieures du vécu et d’empathie, et fortement enracinées dans l’existence de chacun, ses poèmes tissent lyriquement des ententes. Des compositions entamées aux recompositions attendues, parler d’une sensibilité créatrice, pour Malek Bachi, cela requiert une parfaite implication de soi et une irréprochable application de son engagement associant désordre moral apparent et sérénité enfouie s’abreuvant du secret de son art, d’où l’éclaircie et l’harmonie de son aire musicale sertie à son verbe approprié qui y prospère.
C’est comme entendre tambouriner sur le toit ou à la fenêtre la sonorité de la pluie. La musique de Malek Bachi se dissocie du bruit ; le verbe chez Malek Bachi s’associe et réjouit. De « Tiziri » à « Ssawalen am » en passant par « Di sin » à « Vettu », ou de « Ccah nemyeḥmal » à « Asmekti yettrun », toutes ses chansons douces et romantiques évoquent la synthèse de toutes nos traditions s’inscrivant dans la modernisation des sons et chants antérieurs. Ceci afin de permettre à la volonté humaine et artistique de les exporter au-delà des frontières.
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