Elle s'appelle Tayacout Kotama. Depuis des années qu'elle fait de belles productions en reprenant formidablement quelques oeuvres de nos belles voix kabyles comme Slimane Azem, Lounis Menguellet, Idir, ... Elle vient de sortir un excellent single sur la protection de l'environnement avec ses propres paroles et musique et les arrangements d'un compositeur de génie de la musique, pour reprendre le titre du journal Liberté. Il s'agit de son époux Rachid Sairi, dit Rachid Kotama.
Écoutant Tayacout Kotama raconter son parcours et parlant de son dernier clip sur l'environnement.
Voici ce qu'a écrit sur elle le journaliste Djamel Alilat du journal El Watan le 26 novembre 2019:
"Si Tayacout n’est pas encore connue du grand public, sa voix exceptionnelle et la finesse de son timbre, tout autant que la qualité qui transparaît dans ses compositions ne sont pourtant pas passés inaperçus et séduisent de plus en plus d’auditeurs enchantés de découvrir cette pépite musicale à l’heure où le fast-song et le prêt-à-chanter sont devenues la norme générale. Originaire d’un petit village d’Akbou, Tayacout, qui est née au sein d’une famille de musiciens où les instruments n’ont jamais manqué, est une artiste pluridisciplinaire qui touche également à la peinture.
En musique, elle chante avec toute son âme, écrit avec son cœur et compose en puisant dans des influences musicales aussi nombreuses que diversifiées. Sur scène, on voit tout de suite qu’elle se donne à fond et chante avec ses tripes et ressent ce qu’elle chante pour mieux le partager avec son public. Petite, Tayacout a toujours chanté seule ou dans des chorales avant d’intégrer le groupe «Les Lions» d’Akbou dans les années 90’, puis de faire des chœurs pour plusieurs artistes de la chanson kabyle.
Cependant, c’est sa rencontre avec son pygmalion Rachid Saïri qui va tracer sa nouvelle voie. La fusion de ces deux parcours et la conjugaison de leurs deux talents, dans la vie comme sur la scène artistique, promet une collaboration fructueuse et que le sera, sans doute, encore plus dans le futur, avec de beaux albums."
TQ5 Media
Écoutant Tayacout Kotama raconter son parcours et parlant de son dernier clip sur l'environnement.
Voici ce qu'a écrit sur elle le journaliste Djamel Alilat du journal El Watan le 26 novembre 2019:
"Si Tayacout n’est pas encore connue du grand public, sa voix exceptionnelle et la finesse de son timbre, tout autant que la qualité qui transparaît dans ses compositions ne sont pourtant pas passés inaperçus et séduisent de plus en plus d’auditeurs enchantés de découvrir cette pépite musicale à l’heure où le fast-song et le prêt-à-chanter sont devenues la norme générale. Originaire d’un petit village d’Akbou, Tayacout, qui est née au sein d’une famille de musiciens où les instruments n’ont jamais manqué, est une artiste pluridisciplinaire qui touche également à la peinture.
En musique, elle chante avec toute son âme, écrit avec son cœur et compose en puisant dans des influences musicales aussi nombreuses que diversifiées. Sur scène, on voit tout de suite qu’elle se donne à fond et chante avec ses tripes et ressent ce qu’elle chante pour mieux le partager avec son public. Petite, Tayacout a toujours chanté seule ou dans des chorales avant d’intégrer le groupe «Les Lions» d’Akbou dans les années 90’, puis de faire des chœurs pour plusieurs artistes de la chanson kabyle.
Cependant, c’est sa rencontre avec son pygmalion Rachid Saïri qui va tracer sa nouvelle voie. La fusion de ces deux parcours et la conjugaison de leurs deux talents, dans la vie comme sur la scène artistique, promet une collaboration fructueuse et que le sera, sans doute, encore plus dans le futur, avec de beaux albums."
TQ5 Media
- Catégories
- Musique kabyle
Soyez le premier à commenter cette vidéo.