La chanson « Saḥḥa di lweqt aɣeddar » de Slimane Azem est une œuvre profondément poétique et empreinte de sagesse populaire. Fidèle à son style, le chanteur kabyle y exprime la fragilité de la vie, l’instabilité du destin et les épreuves que le temps impose aux hommes.
À travers des vers mêlant tristesse, nostalgie et lucidité, Slimane Azem rappelle que le temps est trompeur : il apporte parfois le bonheur, mais il cache aussi des désillusions et des injustices. L’exil, le poids du sort, les douleurs de l’attente et de l’injustice se retrouvent au cœur de ce texte.
On y retrouve des thèmes chers à Slimane Azem :
Le temps et le destin (aɣeddar) qui échappent au contrôle de l’homme.
L’exil et l’absence (lɣerba) qui pèsent sur les familles et détruisent les repères.
La nostalgie et la morale où il glorifie les valeurs anciennes : la dignité, la loyauté, la patience.
Le refrain « Saḥḥa di lweqt aɣeddar » agit comme un constat amer : le temps est maître, parfois injuste, et l’homme doit composer avec ses tromperies.
Une particularité de cette œuvre est l’introduction d’un nouveau style musical, où une voix féminine vient se mêler au chant de Slimane Azem. Cette alternance entre la voix masculine et féminine apporte une sonorité inédite, plus riche et plus expressive, qui intensifie l’émotion transmise par la chanson et marque une innovation artistique dans son répertoire.
Ainsi, cette chanson illustre parfaitement l’art de Slimane Azem : transformer la douleur et la mémoire en poésie chantée, accessible au peuple, tout en innovant par l’ouverture musicale et en offrant une réflexion universelle sur la condition humaine.
À travers des vers mêlant tristesse, nostalgie et lucidité, Slimane Azem rappelle que le temps est trompeur : il apporte parfois le bonheur, mais il cache aussi des désillusions et des injustices. L’exil, le poids du sort, les douleurs de l’attente et de l’injustice se retrouvent au cœur de ce texte.
On y retrouve des thèmes chers à Slimane Azem :
Le temps et le destin (aɣeddar) qui échappent au contrôle de l’homme.
L’exil et l’absence (lɣerba) qui pèsent sur les familles et détruisent les repères.
La nostalgie et la morale où il glorifie les valeurs anciennes : la dignité, la loyauté, la patience.
Le refrain « Saḥḥa di lweqt aɣeddar » agit comme un constat amer : le temps est maître, parfois injuste, et l’homme doit composer avec ses tromperies.
Une particularité de cette œuvre est l’introduction d’un nouveau style musical, où une voix féminine vient se mêler au chant de Slimane Azem. Cette alternance entre la voix masculine et féminine apporte une sonorité inédite, plus riche et plus expressive, qui intensifie l’émotion transmise par la chanson et marque une innovation artistique dans son répertoire.
Ainsi, cette chanson illustre parfaitement l’art de Slimane Azem : transformer la douleur et la mémoire en poésie chantée, accessible au peuple, tout en innovant par l’ouverture musicale et en offrant une réflexion universelle sur la condition humaine.
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