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Pour tous ses fans, essentiellement ceux de sa génération, Arezki Rawes est parti trop tôt. Il est parti avant d’avoir montré tout ce qu’il possédait comme talent artistique.
Arezki est né en 1965 dans la commune de Makouda. Ses débuts dans la chanson, il les fera avec des chanteurs de l’ancienne génération, à l’instar de Hamidouche et d’Amar Ourabah. D’ailleurs, Hamidouche lui sera d’une aide précieuse, d’après ses amis.
Arezki Rawes composera durant sa courte carrière un ensemble de chansons qui restent gravées dans la mémoire collective. «Siwed as slam», «Tabrimt lfetta», entres autres tubes, sont des titres inoubliables qui ont marqué la chanson kabyle des années 1990. Sa brève carrière fut très riche en chansons ayant bercé plusieurs générations et qui continuent de le faire. Son premier album est sorti en 1985 et le deuxième en 1987 à titre posthume, deux mois après sa mort tragique. Plusieurs hommages lui ont été rendus par le mouvement associatif, notamment à son village, Agouni Hamiche.
Chaque année, il vibre au rythme de ses chansons reprises par les jeunes chanteurs, qui viennent avec plaisir et reconnaissance prendre part à la célébration de l’anniversaire de sa mort. La fête se tient habituellement, au mois d’octobre. Pour rappel, Arezki Rawes est mort le 27 octobre 1987 dans un accident de la circulation. Trois de ses amis, Manceur Mohamed, au volant, Djafour Mohamed Saïd et Loudahi Mohamed, qui étaient avec lui, sont également morts dans le même accident.
La nouvelle de sa mort avait, pour rappel, vite fait le tour de la wilaya. Depuis cette date, les jeunes du village n’ont cessé de le célébrer. Pour rappel, Agouni Hamiche a enfanté d’autres illustres artistes. En effet, deux siècles avant Arezki Awes, un autre grand poète y est né. Il s’agit de Mohand Oumoussa Awaguenoun, qui a vécu durant le XVIIIe siècle et a laissé à la postérité un répertoire de poésie inestimable. Versé dans l’oralité, la poésie a failli disparaître dans les dédales du temps, n’était Youcef Limani, un producteur de cinéma qui en a recueilli un grand nombre chez les vieux, qui s’en souviennent encore.
Akli N.
Pour tous ses fans, essentiellement ceux de sa génération, Arezki Rawes est parti trop tôt. Il est parti avant d’avoir montré tout ce qu’il possédait comme talent artistique.
Arezki est né en 1965 dans la commune de Makouda. Ses débuts dans la chanson, il les fera avec des chanteurs de l’ancienne génération, à l’instar de Hamidouche et d’Amar Ourabah. D’ailleurs, Hamidouche lui sera d’une aide précieuse, d’après ses amis.
Arezki Rawes composera durant sa courte carrière un ensemble de chansons qui restent gravées dans la mémoire collective. «Siwed as slam», «Tabrimt lfetta», entres autres tubes, sont des titres inoubliables qui ont marqué la chanson kabyle des années 1990. Sa brève carrière fut très riche en chansons ayant bercé plusieurs générations et qui continuent de le faire. Son premier album est sorti en 1985 et le deuxième en 1987 à titre posthume, deux mois après sa mort tragique. Plusieurs hommages lui ont été rendus par le mouvement associatif, notamment à son village, Agouni Hamiche.
Chaque année, il vibre au rythme de ses chansons reprises par les jeunes chanteurs, qui viennent avec plaisir et reconnaissance prendre part à la célébration de l’anniversaire de sa mort. La fête se tient habituellement, au mois d’octobre. Pour rappel, Arezki Rawes est mort le 27 octobre 1987 dans un accident de la circulation. Trois de ses amis, Manceur Mohamed, au volant, Djafour Mohamed Saïd et Loudahi Mohamed, qui étaient avec lui, sont également morts dans le même accident.
La nouvelle de sa mort avait, pour rappel, vite fait le tour de la wilaya. Depuis cette date, les jeunes du village n’ont cessé de le célébrer. Pour rappel, Agouni Hamiche a enfanté d’autres illustres artistes. En effet, deux siècles avant Arezki Awes, un autre grand poète y est né. Il s’agit de Mohand Oumoussa Awaguenoun, qui a vécu durant le XVIIIe siècle et a laissé à la postérité un répertoire de poésie inestimable. Versé dans l’oralité, la poésie a failli disparaître dans les dédales du temps, n’était Youcef Limani, un producteur de cinéma qui en a recueilli un grand nombre chez les vieux, qui s’en souviennent encore.
Akli N.
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- Musique kabyle
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