Ad ezzi ssaɛa, la roue tourne ou encore la roue du destin, en Kabyle. Un chant ancestrale purement Agawa/Amazigh (Kabyle/Berbère, en Français)
PAROLE TRADUCTION FRANCAISE
Nous voici comme enragés
Sans cesse à ressasser
« Mais quels sont donc nos adversaires ? »
Quiconque trouve son frère en difficulté
S'empresse de l'enfoncer davantage
Allant jusqu'à lui retirer le pain de la bouche.
Toi, le voyageur instruit par l'expérience
Rappelle-toi le vieil adage
Ton ennemi le plus acharné, c'est ton frère.
Il te trahit depuis la nuit des temps
Et s'il le pouvait, il te piétinerait
Tant son coeur est rempli de venin.
Je me retrouve entre deux serpents
Et ils croient que je suis la proie rêvée
Dés que je m'éloigne de l'un, l'autre me pique.
Seigneur, donnez-moi la force
De lutter contre ce monde insensé !
J'attends que la roue tourne.
PAROLE TRADUCTION FRANCAISE
Nous voici comme enragés
Sans cesse à ressasser
« Mais quels sont donc nos adversaires ? »
Quiconque trouve son frère en difficulté
S'empresse de l'enfoncer davantage
Allant jusqu'à lui retirer le pain de la bouche.
Toi, le voyageur instruit par l'expérience
Rappelle-toi le vieil adage
Ton ennemi le plus acharné, c'est ton frère.
Il te trahit depuis la nuit des temps
Et s'il le pouvait, il te piétinerait
Tant son coeur est rempli de venin.
Je me retrouve entre deux serpents
Et ils croient que je suis la proie rêvée
Dés que je m'éloigne de l'un, l'autre me pique.
Seigneur, donnez-moi la force
De lutter contre ce monde insensé !
J'attends que la roue tourne.
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